| 28-02-2010 23:48:06 | #1 | | Renard Fou | Coucou!
Je viens à vous dans mon incurie matricielle en quête d'un petit peut d'aide pour réaliser un shéma de node de comunication "standard" pour une escouade de combattant.
J'imagine qu'une telle escouade à besoin de communiquer de membre à membre ainsi qu'avec ses arrières et ses soutients, doit être en mesure de lancer une conversation avec une équipe de rencontre sans se faire pirater, dissimuler ses flux pour ne pas être repérés, coder ses comunications, repousser les tentatives de hacking sans parler de controller d'éventuel drones tout ça, voire même disposer d'un agent pour hacker à la volée une porte ou un agent qui bloque le passage...
Bref, plein de chose...
Vous avez déja géré ce genre de chose? |
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| 01-03-2010 10:20:45 | #2 | | Blade | Pour moi :
* En opération, à moins d'être en public, ou de vouloir être discret, on active le brouillage en permanence, en comptant sur le fait que son Signal+EECM est meilleur que celui des gens d'en face.
* Pour une opération discrète (infiltration), aucun équipement n'aura de transmission sans fil, à part peut-être des liaisons directionelles (type infrarouge).
* Bien entendu tous les firewalls et tout ça sont complètement blindés, avec des CI en patrouille.
* Chaque commlink est indépendant : les clusturer dans un même nexus peut sembler intéressant mais un hacker n'a qu'à en hacker un seul pour accéder à tout. A la place, les noeuds sont reliés mais indépendants.
* Chacun des PANs est relié au battletac, qui est géré par le spécialiste matriciel (s'il y en a un). Cette liaison se contente de récupérer les données des senseurs et envoyer des informations. Il n'est pas question de donner le contrôle aux équipements des membres de l'équipe.
* Dans certains cas (opération militaire, opposition matricielle probable), un hacker peut être connecté au réseau depuis le QG, histoire d'en assurer la surveillance.
* En cas d'intrusion matricielle détectée, les noeuds (que ce soit ceux de l'équipe ou celui du battletac) sont redémarrés. Mieux vaut perdre l'avantage du logiciel tactique que se le faire pirater. |
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| 01-03-2010 11:18:28 | #3 | | okhin | Et il y a deux links. Un PAN, qui gère l'informatique personnelle (biomoniteur, cyberware, etc) et un autre qui gère la communication. Le premier est en mode Furtif et n'a quasiment aps de signal (genre 1). A la limite, il est asservi à celui du dessus.
L'autre link possède un gros Système et un gros Firewall. Contrairement à Blade, j'aurai tendance à les monter en réseau/cluster, masi redondant. Typiquement tous les softs de 'léquipe sont disponibles aux même indices sur tous les nodes de l'équipe. Le battlenet est, du coup, redondant et ne dépend plus d'un seul node.
Ce qui arrive de pire c'ets qu'un membre de l'unité soit isolé, provisoirement.
Ah oui, Chiffrement actif sur tous les noeuds, et chiffrement dynamique et intégral du noeud. Des databombs pavloviennes partout plutôt que des IC en fait (ça consomme moins de système et ça va bien plus emmerder un hacker qu'une IC). Un bon Agent avec Analyse aussi, pour détecter les intrusions au plus tôt.
Si il y a des drônes, ils sont abonnés au battlenet, pour le partage d'infos (ce qui peut permettre de tirer à tarvers les murs par exemple).
De manière générale, une bonne équipe possède une compétence de langue "Jargon de bataille", ce qui leur permet de communiquer par geste rapide et de manière silencieuse. De fait, la seule info que peut chopper un hacker c'est le feedback disponible sur le Battle Net (et ça peut les stresser, genre "Je sait que le mec me voit, mais pas moyen de le voir lui").
Après, dés que l'intrusion est détectée dans un node, on fait un split brain (en gros, on isole le node piraté du reste du cluster, pas de perte de fonctionnalité à cause de la redondance, et les mecs peuvent continuer de parler. Il possède toujours son link perso qui llui permet d'exploiter son PAN), on change la clef (théoriquement, elles sont générées dynamisuqment pour ne servir qu'une fois) et le node qui s'est fiat éjecté, reboote avant de revenir dans le cluster si nécessaire.
Okhin |
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| 01-03-2010 14:02:46 | #4 | | Renard Fou | OK... Je vais essayer de traduire ça en "Plan" matriciel pour y voir plus clair... Par contre, pourrais tu me filer des données chiffré pour par exemple au hasard, l'équipe de marines corpo dont je parle plus haut? Oublis le comlink cité dans leur profil et remplace parce qu'il te semble le plus adéquat... |
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| 01-03-2010 14:08:46 | #5 | | okhin | Les indices? facile:
Indice d'apapreil = Indice de professionalisme
Indice d'appareil = Réponse = Signal = Système = Firewall
Tu peux augmenter d'1 le Firewall tous les deux points d'indice d'appareil
Tes softs sont à la valeur max du système.
Donc, dans 90% des cas, tu gères ton opposition matricielle en faisant 2xIndice de professionalisme VS seuil.
Okhin |
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| 01-03-2010 14:12:04 | #6 | | Renard Fou | Pas con, mais j'ai bien peur que des troupes de bases (pro 3) sensément bien formé au combat se fassent rouler dessus par le moindre PJ en matriciel... |
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| 01-03-2010 14:32:38 | #7 | | Namergon | Le leader de l'escouade peut aussi être le hacker du groupe, et centraliser l'aspect sécurisation du battlenet. cf les Samouraï rouges et les Ghosts du livre de base. |
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| 01-03-2010 14:50:42 | #8 | | okhin | Renard Fou a écrit:
Pas con, mais j'ai bien peur que des troupes de bases (pro 3) sensément bien formé au combat se fassent rouler dessus par le moindre PJ en matriciel...
Ok. Le Hacker casse le node.
Que se passe-t-il donc à partir de maintenant. La procédure veux que, logiquement, les escouades tactiques débranchent leurs nodes.
Ensuite, reboot des nodes perso, et on finit en manuel. Comme dit précédement, une équipe de sécu un minimum formé, sait communiquer entre eux sans la matrice. je ne parelrait même pas des sorts de télépathie de groupe (Hive Mind!).
De fait, l'escouade va peut-être perdre une PI à se réorganiser (tout le monde à couvert, plan B), masi après, ils reviennent avec une approche différente.
De plus, le hacker, si il est rpésent physiquement, peut-être localisé physiquement assez facilement par le hacker d'en face. Ce qui permettra ensuite au hacker de faire quelques jets de constit de rafales longues concentrées.
Dernier point, ne perds pas de vue que du matos életronique de grade 4+ c'est le matériel dit de sécurité. C'ets à dire que ça ne court pas les rues. D'où le firewall 4 pour un indice de de professionalisme de 3 (d'ailleurs, à 3, on est au niveau du garde corpo armé, c'est mieux que le vigile et que le ganger, mais moins bien que le SWAT) il me semble.
Okhin |
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| 09-03-2010 01:42:27 | #9 | | Valérian | Tout comme un civil, un combattant dispose d'un Commlink pour gérer son équipement électronique (ce qui inclue armes et senseurs) et communiquer avec les autres membres de son escouade.
Tout ce qui est équipement électronique individuel est configuré pour fonctionner en mode caché avec un signal très faible (0 soit 4m), voir fonctionner via un Skinlink (et donc sans capacité sans fil).
Le Commlink du soldat lui permet de gérer son équipement électronique personnel via un PAN. Le Commlink opère bien sur en mode caché, et l'escouade adapte son score de signal à la distance séparant ses membres (un signal de 1 avec une porté de 40m peut suffire pour une escouade dont les membres restent au contact les uns des autres). Le but est de compliquer la tâche de l'adversaire pour détecter les nodes des Commlinks de l'escouade.
Eventuellement, si les finances le permettent, les Commlinks peuvent être couplé à un "nonstandard wireless link" qui est une sorte de radio fonctionnant dans des fréquences différentes des communications matricielles classiques (le but étant de compliquer encore plus la détection des nodes de l'escouade).
Au niveau "guerre électronique", les Commlinks de l'escouade incorporent en complément un programme de Cryptage pour les transmissions, ainsi qu'un programme ECCM pour atténuer un éventuel brouillage.
Au niveau "matriciel" maintenant, les Commlinks incorporent un programme Analyse à coupler au Firewall pour repérer une tentative d'intrusion. Chaque Commlink dispose aussi d'une CI tournant sur le node. Chacune de ces CI dispose de comptes de sécurité sur les autres Commlinks de l'escouade et peut donc s'y connecter sur demande si une tentative d'intrusion est détectée quelque part.
[EDIT pour ajout :] Pour la coordination de l'équipe, chaque membre de l'escouade incorpore sur son Commlink un programme de type TacNet. Les drones utilisés par le groupe incorporent aussi ce programme pour que chaque membre de l'escouade ait accès à un maximum d'infos des senseurs.
A mon avis, la gestion des drones est centralisée au niveau d'un rigger disposant d'un Commlink plus puissant que le reste du groupe. Les drones sont gérées par le rigger via un liaison de type Slave/master pour les protéger d'une tentative de hacking (il va de soit que les drones fonctionnent en tant que node en mode caché). |
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