Titre : Running Wild

Genre : Supplément aux règles et bestiaire.

Mots-clés : Animaux, Critters, animaux paranormaux, dressage, dragons, esprits, Technocritters, Protosapients, règles, Rules, SR4.

Date in-game du supplément : Juillet 2072.

Auteur(s) : Lars Blumenstein, Robert Derie, John Dunn, Patrick Goodman, Jennifer Harding, Adam Large, Stephen McQuillan, Aaron Pavao, Malik Toms

Illustrateurs : Emel Akiah, Jonas Myhre Andreassen, Steven Bentley, Christopher Burdett, Brent Evans, Klaus Scherwinski, Chad Sergesketter, Dean Spencer, Peter Tikos, Celia Yost

Managing Developer : Randall Bills

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Description : Livre à couverture rigide (ou fichier .pdf) de 224 pages.
Editeur : Catalyst Game Labs.
Date de parution : Septembre 2009.
ISBN : 1-934857-44-1
Numéro de série : 26101

Présentation

Running Wild est la version Quatrième édition du bestiaire du Sixième Monde, couvrant aussi bien les animaux ordinaires que les paranormaux dont les dragons, mais aussi les mutants et les toxiques ou les esprits étranges. En supplément aux espèces déjà présentées dans les éditions précédentes, on découvrira ici les protosapients, sortes d’IA à l’intelligence animale, mais aussi les technocritters : des animaux émergents capables d’accéder à la Matrice.

Après la traditionnelle page d’accueil du Jackpoint, ce supplément s’ouvre sur Animal Kingdom. Présenté comme un article du réseau écrit par un éco-terroriste notoire, Ecotope, il offre un panorama de l’état du monde animal en 2070 : les espèces éteintes, les menaces qui pèsent sur celles qui survivent et leurs moyens de s’adapter. Le chapitre poursuit sur l’utilisation des animaux par la métahumanité : animaux de compagnie, de surveillance ou élevés pour la nourriture ou la science. Les questions de la chasse et du braconnage sont aussi soulevées.

Le chapitre suivant, Advanced Critter Rules n’est pas qu’un chapitre de règles, comme son nom pourrait le laisser croire. Il est là aussi présenté comme un article de Jackpoint sur l’utilisation des animaux par les corporations notamment pour la sécurité, avec les animaux de garde paranormaux ou cyberaugmentés, mais aussi pour d’autres usages comme la chasse aux animaux nuisibles, la police montée ou les chiens renifleurs. Les animaux de compagnie sont de nouveau mentionnés mais cette fois-ci plus du point de vue pratique : quels sont les lois, comment s’en procurer, etc. Ce chapitre possède tout de même des informations de jeu, sur les différents types d’animaux et notamment les essaims d’insectes ou les meutes de petits animaux. Il y est aussi question de l’augmentation des animaux via le cyberware ou la genetech ainsi que des biodrones, des animaux contrôlables comme des drones, dont on peut trouver une douzaine d’exemples, caractéristiques et coût inclus. Enfin, le chapitre explique comment rendre les animaux accessibles aux PJs avec notamment des règles pour l’achat, le dressage et l’inclusion dans les niveaux de vie.

A Walk on the Wild Side parle des espèces sapientes mais non métahumaines, là encore sous la forme d’un article de Jackpoint. Il est question tout d’abord de leurs relations avec le monde métahumain et leur intégration (ou non intégration) dans la société métahumaine puis de leurs sociétés à elles. Cette dernière partie est étendue par des présentations en détail de la vie au quotidien dans les sociétés nagas, centaures et changeformes.

The infected, le chapitre suivant, parle, comme son nom l’indique, des victimes du VVHMH (le Virus du Vampirisme Humain-MétaHumain). Ce virus est d’ailleurs décrit en détail dans un article de Jackpoint mentionnant ses différentes variantes et introduisant de nouveaux types d’infectés : les harvester (des elfes sauvages à la peau dure et aux ongles en forme de faux), les grendels (des orks très poilus aux bras longs qui courent à quatre pattes) et les gnawers (l’équivalent nain des goules). Suivent les informations de jeu avec les caractéristiques des infectés mais aussi des souches du VVHMH.

Le chapitre Dragons couvre bien entendu nos amis reptiliens. C’est encore un article Jackpoint qui ouvre le chapitre, en nous informant sur la biologie des dracoformes et dracomorphes mais aussi leur culture. S’ensuit une liste des grands dragons connus et des paragraphes pour détailler les plus importants. Le chapitre se clôt sur les informations de jeu, avec les caractéristiques de différents dracoformes et dracomorphes.

Mundane Critters est essentiellement un bestiaire d’animaux ordinaires (non éveillés). Les caractéristiques de plus de 50 animaux marins, terrestres et aériens sont proposés, avec parfois des variantes permettant par exemple d’adapter les caractéristiques du hamster pour obtenir un écureuil. Bien entendu, les animaux ne sont pas décrits, mais il est toutefois indiqué s’ils sont courants, peu courants ou même quasiment rares. De plus, les caractéristiques sont agrémentées de quelques faits intéressants sur certains animaux.

Paranormal Animals fait la même chose que le chapitre précédent, mais cette fois-ci pour plus de 110 animaux paranormaux qui sont eux décrits en détail.

Mutant and Toxic Critters ne propose lui qu’une douzaine d’animaux toxiques et mutants, mais ceux-ci servent d’exemple pour les règles de création qui sont détaillées dans ce chapitre.

Le chapitre suivant, Strange Spirits reprend le format Jackpoint pour parler en quelques pages d’esprits particuliers comme les fées, les fantômes ou les diablotins. Les informations de jeu qui suivent détaillent comment pactiser avec eux et donnent leurs caractéristiques.

Le chapitre Technocritters introduit les créatures du même nom, qui apparaissent pour la première fois dans Shadowrun. Un article Jackpoint permet de découvrir ces animaux émergents, capables d’agir sur la Matrice à l’image des Technomanciens. Des informations de jeu détaillent ensuite leur fonctionnement et donnant quelques exemples avec leur caractéristiques matricielles.

Le chapitre suivant Protosapient parle d’un sujet assez proche : des intelligences artificielles "sauvages" qui sont au final de véritables animaux matriciels. Là encore, ils sont présentés via un article Jackpoint avant d’être détaillés au niveau de leurs caractéristiques et de leurs règles.

Critter Power propose la liste et les détails des pouvoirs référencés tout au long du livre, pour tous les types d’animaux.

Enfin, le livre se termine sur le Critter and Power Index qui permet de facilement retrouver la page d’un animal ou d’un pouvoir.

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