Titre : Jeu d’ombres / Shadowplay

Genre : Roman.

Mots-clés : Améridien, Chaman, Cheyenne, Falcon, Faucon, First Nation, Roman, Seattle, Sioux, Sly, corporations.

Epoque de la narration : 2053.

Auteur(s) : Nigel Findley.

Illustrateur de couverture : John Zeleznik (VF) / Keith Birdsong (VO).

Version originale

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Directeur de collection : Donna Ippolito
Description : Livre de poche à couverture souple de 372 pages.
Editeur : ROC
Date de parution : 1993
ISBN : 0-451-45302-6
Numéro de série : LE5302

Version française

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Directeurs de collection : Patrice Duvic et Jacques Goimard.
Description : Livre à couverture souple de 243 pages.
Editeur VF : Fleuve Noir.
Date de parution : Septembre 1995.
Traducteur(s) : Grégoire Dannereau.
ISBN : 2-265-05585-9
Numéro de série : 7

Résumé de l’intrigue

Falcon, un ganger de Seattle, se retrouve malgré lui embarqué dans une affaire qui le dépasse. Il se retrouve à faire équipe avec Sly, une shadowrunneuse expérimentée en plein milieu d’une affaire d’espionnage industriel qui risque de mener à la guerre corporatiste.

Résumé du début

Attention, le résumé qui suit dévoile des éléments susceptibles de gâcher la surprise ou l’intérêt du lecteur.

L’histoire commence par suivre en parallèle les deux personnages principaux.

Falcon est un ganger améridien des First Nation. C’est un chaman, mais s’il a commencé à ressentir l’appel de son totem, il ne sait pas encore de qui il s’agit et n’a pour l’instant aucun pouvoir. Il se retrouve par hasard à accompagner une équipe de shadowrunners améridiens.

Sly est une shadowrunneuse qui se retrouve en possession d’une information dangereuse : un secret corporatiste qu’un decker a reçu d’un autre qui venait de se faire tuer par une glace noire.

Le chemin des deux personnages se croise au moment où plusieurs parties organisent une rencontre pour l’échange de ces données. Le deal toune mal et ils se retrouvent seuls, en possession du secret, qui s’avère être tellement important qu’il pourrait entrainer une guerre entre les mégacorporations...

Différences VF / VO

Le nombre de pages diffère entre les deux versions : la VF compte près de 129 pages de moins ! Si la taille de police et la mise en page peuvent expliquer une partie de cette disparition, il s’agit surtout de coupes dans le texte original décidées par l’éditeur français afin que le livre entre dans le cadre de la limite de 250 pages fixées pour chaque roman de la collection Shadowrun (mais aussi Earthdawn). Des paragraphes et des scènes entièrs ont donc été tout bonnement supprimés.
Enfin, pour des raisons surement esthétiques, l’éditeur français a décidé de changer la couverture, adoptant pour celle-ci une illustration de John Zeleznik déjà employée pour le supplément SR2 The Neo-Anarchists’ Guide to Real Life, du même Nigel Findley, ainsi que pour les Shadowrun Quick Start Rules de SR3. La couverture originale est signée Keith Birdsong, et dépeint les deux personnages principaux du roman.

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